10 questions/réponses pour découvrir les meilleurs livres sur les Templiers

 

 

Les templiers ! Dès que ce nom est prononcé, il excite l’imaginaire et les fantasmes. L’ordre des Templiers fut créé par Hugues de Payns en 1128 et dissout en 1314 avec la mort du dernier grand maître Jacques de Molay sur le bûcher. Il va y avoir les croisades avec la reconquête de la terre sacrée, c’est-à-dire de Jérusalem et du tombeau du Christ.

Qui étaient les Templiers ? L’ordre des templiers, avait-il des rituels secrets ? A-t-il été détenteur d’un trésor particulier ou d’un secret que l’église veut encore préserver ? Ont-ils été en Amérique ?

Les réponses de spécialistes tels que Jacques Rolland, Patrick Rivière et Thierry Wirth

Templier – les meilleures ventes

Les livres sur l’histoire de cet ordre mythique légendaire

Le début et la création de l’ordre des Templiers

Nous sommes au début du XIIe siècle, en 1118 à Jérusalem, et on voit revenir huit ou neuf chevaliers avec Hugues de Payns. C’est leur retour en Europe, en occident et ils tiennent un concile sous l’ordonnancement du pape et de Bernard de Clairvaux pour la création d’un ordre de moines soldats.

Cet ordre se crée et se développe aussi très rapidement. On n’est pas sûr du nombre de moines soldats parce que les noms divergent un petit peu.

Dès l’origine de l’ordre du templier, lors du concile de Troyes, le 13 janvier 1129, l’ordre est devenu numériquement important puisqu’il compte près deux à trois mille personnes.

Il est dit qu’ils logeaient à Jérusalem dans les écuries du Temple de Salomon. Selon l’historien Jacques Rolland, il faut être très prudent parce qu’on pas vraiment trouvé archéologiquement ce temple. Les savants hébraïques et bibliques ne sont pas d’accord sur l’emplacement exact du temps, vu qu’il a été détruit et reconstruit plusieurs fois.

On aurait retrouvé près de 9 000 commanderies et presque 30 000 personnes travaillant de près ou de loin pour le Temple durant l’âge d’or de l’ordre du temple. C’est ce qu’on peut constater sur les Templiers par des documents autour des années 1160.

Qu’est-ce qu’une commanderie templière ?

En occident, c’était une villa fortifiée qui assumait la charge des terres avoisinantes. Ce n’était pas trente mille soldats prêts à combattre, mais c’était la première armée de métier en uniforme. Ils étaient toujours avec une cape blanche, un manteau blanc. On les appelait les blancs-manteaux à Paris.

Pourquoi le nom des chevaliers de l’ordre du Temple ?

Cette référence au Temple de Salomon est étonnante. Les autres ordres hospitaliers qui l’ont précédé ou qui leur ont succédé ont toujours fait référence à une connotation religieuse tardive, c’est-à-dire au christianisme.

La dénomination exacte était “les pauvres chevaliers du Christ et du temple de Salomon”. C’est une allusion à une alliance entre l’ancienne loi et la nouvelle loi, entre l’ancien et Nouveau Testament. Ils ont privilégié le Temple de Salomon pour des raisons idéologiques et traditionnelles.

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Comment était structurée la hiérarchie de l’ordre templier ?

Ils avaient à leur tête un maître, qu’on appelle le maître du temple. L’appellation grand-maître est une appellation tardive. Le maître est élu par un couvent qui réunissait tous les commandeurs des différentes provinces templières. Il était assisté par un sénéchal qui était un second maître adjoint qui s’occupait de l’intendance.

Il y avait un homme très important qui était le maréchal de l’ordre. C’était lui qui était responsable des opérations militaires.

Puis, il y avait le commandeur de la terre de Jérusalem qui avait une fonction particulièrement importante parce que c’était le trésorier, celui qui gérait les flux financiers.

Un autre homme très important était le commandeur de la voûte d’Acre qui s’occupait de l’intendance au niveau militaire.

Il y avait une véritable référence ésotérique qui était particulièrement applicable à l’infrastructure.

Il y avait les frères chevaliers, les sergents, les piétons d’armes. C’était toute une infrastructure à la fois militaire et paysanne ou hospitalière qui servait les Ordres des Templiers. Ils n’étaient pas tous combattants, mais c’était toute une infrastructure qui travaillait pour eux.

Que signifie l’emblème des deux chevaliers templiers sur le même cheval ?

Ce sceau des deux chevaliers sur un même cheval est tardive. Elle n’apparaît qu’à partir du 8e maître appelé Renaud de Vichiers.

Le premier sceau qui était de Robert de Craon comportait la mosquée d’Omar au centre du sceau, donc un emblème musulman.

Donc, il y a un ordre tout à fait particulier qui vient de se créer et qui fait référence à la religion judaïque, à la religion musulmane et à la religion chrétienne.

C’était un œcuménisme, c’est pourquoi on parle souvent des origines orientales de l’ordre du Temple. On a un syncrétisme religieux qui emprunte aux trois religions des aspects qui sont totalement à l’opposé de ceux de Rome.

L'ordre noir des Templiers
  • Rolland, Jacques (Auteur)

  Quelle était la nature de la richesse des templiers ?

Cette richesse était surtout immobilière, le Temple à Paris était énorme. La richesse immobilière du Temple se justifiait par l’acquisition de maisons dans les villes, de rues, de quartiers complets dans des villes comme Toulon, Lyon, Paris, la Rochelle, Londres …

A Paris, en 1170,  l’enclos du Temple représentait environ 15 % de la superficie totale de la ville. La tour du Temple, au centre de la ville, était visible de partout.

Dans cette tour, il y avait le ministre des Finances des rois depuis Louis IX. C’était des Templiers, d’ailleurs le principal ministre des Finances de Philippe le Bel était un templier.

Les Templiers étaient les banquiers des Croisades

Aucun roi, pape ou empereur ne pouvait financer une croisade. Une croisade, c’était le départ de quarante à cinquante mille personnes. Et dedans, il n’y avait que la moitié des combattants. Ils avaient besoin de toute une infrastructure militaire, logistique de ravitaillement, de campements, etc. Cela justifiait donc des frais énormes et seuls les banquiers juifs, lombards ou vénitiens étaient capables les financer jusqu’à ce que la banque des Templiers prenne la relève.

 En quoi consistaient les rituels du chevalier templier ?

Les rituels des chevaliers templiers faisaient référence à la religion juive, à la religion musulmane et à la religion chrétienne évidemment. La personnalité du Christ était différemment interprétée par eux vis-à-vis de la chrétienté orientale.

Sur les 686 articles de leurs règles qui appartiennent aussi bien la vague augustinienne qu’à la règle de Saint-Benoît, il n’y a que 40 articles qui sont consacrés à la vie militaire. Il y en a 640 qui sont consacrés à la vie monastique.

C’est avant tout un idéal orienté vers l’univers claustral, c’est-à-dire un univers de couvents, de couvents forteresse où la règle s’applique. Le descriptif des règles qui nous sont parvenus, indique clairement toutes les obligations qui sont très proches d’une règle de Saint-Benoît.

Que devait faire un jeune homme qui voulait devenir templier ? Selon Jacques Rolland, il avait énormément de travail à faire parce que le postulant n’était pas du tout adoubé chevalier comme pouvait l’être le chevalier arthurien de la table ronde.

Il y avait une période de noviciat très importante, très proche d’une règle cistercienne ou d’une règle bénédictine. Pendant un an, le frère devait se consacrer à la vie monastique, même s’il avait envie de combattre, il devait se consacrer à la vie religieuse.

Il était présenté par des parrains et une fois accepté, les rituels d’initiation étaient très proches de ce qu’on peut observer actuellement dans certaines sociétés initiatiques. Les parrains devaient assumer la responsabilité de la présentation du futur impétrant. On lui demandait de prêter serment sur les faits qu’il était chaste, qu’il était pauvre, qu’il n’était pas marié … Cela ressemblait beaucoup à la franc-maçonnerie.

Les accusations contre les templiers

Lors du procès des Templiers, on les a accusés d’énormément de choses hérétiques comme de renier l’aspect divin du Christ.

Selon Jacques Rolland, il y a un aspect un petit peu islamiste parce que dans le Coran, Jésus-Christ est présenté comme un prophète, il n’est pas présenté comme le fils de Dieu. Pour l’Islam, on ne peut pas crucifier un dieu, car il y a absolument une incorruptibilité de l’essence divine, mais on peut crucifier un prophète.

A Damas, dans la grande mosquée des Omeyyades, une des plus grandes mosquées d’orient, le troisième minaret est celui de Jésus-Christ.

Les templiers partageaient cette opinion avec le monde musulman, ils acceptaient Jésus-Christ comme un maître spirituel, comme un prophète. Pour les templiers, un prophète peut-être crucifié pour des tas de raisons, mais jamais un dieu. Ils ne reniaient pas Dieu, mais reniaient Jésus-Christ en tant que fils de Dieu.

Les livres sur les Templiers de Jacques Rolland, historien

Des livres sur les Templiers documentés au niveau historique

  Le début de la descente aux enfers pour les templiers

La véritable grande défaite, la tragédie de l’histoire des Templiers, c’est la bataille de Saint-Jean d’Acre. Lors de la prise de la ville Saint-Jean d’Acre en 1291, les templiers vont offrir une résistance acharnée. Jusqu’au bout Guillaume de Beaujeu, le grand-maître de l’Ordre du Temple, à penser inverser la situation.

Il a tout fait pour que de très nombreux frères chevaliers, d’autres ordres hospitaliers arrivent en Palestine, en Terre Sainte pour se joindre à lui. Guillaume de Beaujeu réussit à les convaincre. Puis, il a fait l’énorme pari de vouloir faire une alliance avec les Mongols, mais cela lui a été refusé.

Le Grand Maître est mort sur les remparts de Saint Jean d’Acre après avoir tenu la place avec ses chevaliers templiers. Très longtemps, la lutte a été incertaine et c’est lui qui a vraiment tenu la bataille, il a galvanisé ses chevaliers jusqu’au bout. La commanderie a été très longue à se rendre, mais les Arabes avaient miné les remparts de la ville. Ce fut le massacre des Templiers, toute l’élite des chevaliers templiers est tombée à Saint Jean d’Acre.

A partir de ce moment-là, ça a été la fin des Templiers. Puis c’est Philippe le Bel, le roi de France, qui a voulu la chute des Templiers. Il a monté une machinerie absolument invraisemblable et terriblement efficace avec une rumeur.

Les médias se sont emparés de cette rumeur construite à partir de petits mensonges. Les templiers sont alors devenus la risée du peuple, c’étaient des apostats et des hérétiques. On disait qu’ils embrassaient le cul du diable, que les Templiers crachaient sur la croix … Lors du procès des Templiers, avec l’aide de la torture, il y a eu une sorte d’unanimité dans les aveux.

Bijoux templiers

Après la défaite de Saint-Jean d’Acre, dans le royaume des Francs de l’époque, il ne restait que 653 templiers, des personnes âgées, des vieux combattants puisque tous les jeunes étaient partis là-bas. Donc l’Ordre du Temple en France était devenu ridiculement bas au niveau numérique. Philippe le Bel a profité de cette situation en montant cette accusation avec Guillaume de Nogaret.

Le 11 mars 1314, Jacques de Molay, le dernier grand maître du temple, est envoyé au bûcher. A partir de là, l’ordre est dissous et n’existe plus. Certains templiers s’enfuient vers l’Écosse, en se déguisant, se faisant passer pour des maçons, des constructeurs.

Les Templiers sont-ils à l’origine de la franc-maçonnerie ?

N’ayant plus le droit de vivre au sein de leurs ordres et leur ordre n’ayant plus le droit d’exister, on peut se demander s’ils ont créé la franc-maçonnerie.

Pour Jacques Rolland, c’est une question à double aspect. Certains sont partis avant l’arrestation. En fait, il y a beaucoup de templiers qui se sont enfuis la veille de l’arrestation générale. Les archives du Vatican nous en donnent la liste ; le maître pour la France s’appelle Gérard de Villiers. Il s’est enfui avec le commandeur du trésor, le commandeur de la terre de Jérusalem, avec le commandeur de la terre d’Auvergne et surtout avec le commandeur de la cité de la Rochelle.

C’est très important. Nous n’avons aucune archive concernant l’Ordre du Temple, mais 18 galères sont parties de Rouen avec les archives ou le trésor. Elles sont parties vers le saint-empire romain germanique de l’époque, vers l’Angleterre et l’Écosse.

Et alors là, c’est tout à fait possible qu’il y ait des liens, parce que les origines de la maçonnerie se trouvent en Écosse, où Robert Bruce, le chef d’un grand clan d’Écosse, était lui-même templier. Il avait accueilli au sein de sa forteresse des templiers rescapés du royaume de France.

Donc la passerelle peut exister, mais on a actuellement aucune certitude. Elle est peut-être valable au niveau spirituel, mais la logique chronologique ne permet pas de le dire. On n’a pas de documents entre la disparition, la dissolution de l’Ordre du Temple en 1312 au concile de Vienne et l’apparition de la franc-maçonnerie vers 1680. Il s’est passé tout de même 3 à 4 siècles.

Le tresor des templiers existe-t-il ?

Où est le trésor des Templiers ? Nous ne savons pas encore, mais Rennes-le-Château vit l’enfer avec les fouilles de ceux qui recherchent le trésor templier.

Jacques Rolland explique qu’il faut revenir au point de départ, au Temple de Salomon. Il y a l’endroit où le chevalier templier était logé, les fouilles du temple de Salomon et les mines d’or du roi Salomon. Ces dernières ne sont pas une illusion, ce n’est pas quelque chose de mythique. Nous savons qu’elles existent et des chapitres de la Bible en parlent vraiment à plusieurs reprises.

Indépendamment de la recherche du trésor du Temple, c’est-à-dire l’arche de l’alliance, les tables de la loi, on sait que les Templiers étaient à la recherche d’indications. Ils recherchaient des informations concernant l’exacte situation des mines d’or du roi Salomon. On peut supposer qu’ils aient fait une découverte, c’est la première hypothèse concernant le secret du trésor. Avec leur disparition, ils sont partis avec le secret des templiers et toutes leurs connaissances.

La seconde hypothèse concerne le fait que l’Ordre des Templiers était une banque d’affaires. Il y circulaient tous les flux financiers énormes de l’époque. C’était de l’argent qui leur appartenait, il transitait par leurs circuits financiers. Les templiers avaient la lettre de change, c’était comme un chèque. Quand on leur remettait l’argent dans une commanderie, ils remettaient une lettre et ensuite, la personne voyageait avec cette lettre. Arrivé en Orient, le chevalier templier présentait à une commanderie cette même lettre et recevait la même somme. C’était très pratique et très sécurisant.

 La nature du trésor des Templiers

La troisième hypothèse, c’est qu’après Saint-Jean d’Acre, ils étaient peut-être complètement ruinés. Il ne faut pas oublier que les richesses du Temple étaient une richesse immobilière. Les 9000 commanderies templières géraient à peu près 4 millions d’hectares de terres. Cela représentait une somme colossale qui n’était pas monnayable. Les terres agricoles n’étaient n’est pas quelque chose qu’on pouvait vendre du jour au lendemain, mais elles pouvaient être gagées.

L’Ordre du Temple, au moment de l’âge d’or dans les années 1150, avait une immense fortune. Tous les grands de ce monde qui voulaient en faire partie, apportaient une dote, c’est-à-dire leurs biens, leurs vaisselles, leur château, etc. Cela représentait beaucoup d’argent, beaucoup d’or. Donc l’Ordre du Temps était très riche en 1150, mais en 1291, on peut dire avec certitude que toutes ces hypothèses peuvent être réunis.

Ce trésor, était-il d’une autre nature ? Dans l’Ordre du Temple, il y avait une vie spirituelle, c’était des moines soldats donc il avait une conception de la chevalerie qui était à l’opposé complètement du chevalier arthurien. Quand on parle de l’origine orientale de l’Ordre du Temple, cela rejoignait les légendes iraniennes, la vie spirituelle iranienne. D’ailleurs, Parsifal est un terme iranien, donc on peut penser qu’ils avaient trouvé en orient une spiritualité qu’ils ont maintenue pendant les deux siècles de leur histoire.

C’était une spiritualité qui ressemblait à ce que pouvait être l’origine véritable de la chrétienté. Il n’est pas exclu du tout qu’ils aient eu de l’argent, de l’or, des espèces sonnantes et trébuchantes, mais on n’a pas de preuves du tout de ça. Tout ce qu’on sait, c’est qu’effectivement Gérard de Villiers est parti du temple de Paris, là où était géré le trésor de Philippe le Bel.

Il est parti une dizaine de jours avant l’arrestation avec 53 chevaliers armés à bord de 18 galères. Ils n’ont pas embarqué leurs chevaux, mais autre chose. Ils sont allés au Portugal, en Écosse et dans l’empire romain germanique. Donc il y a eu une dispersion, mais Jacques Rolland souligne que 18 galères, c’est énorme pour 53 chevaliers …

Cette information est issue des documents du Vatican qui sont présentés dans son livre “l’assassinat des Templiers”.

Ils sont partis avec des documents et certainement avec une partie du trésor des Templiers, c’est pourquoi Philippe le Bel a trouvé les coffres vides.

On ne sait pas quelle est la nature de ce trésor, si ce sont des archives, des documents, des secrets concernant le début de la chrétienté. Ou si ce sont, puisqu’ils ont mené des fouilles à Jérusalem, la célèbre arche d’alliance, les tables de la loi, etc. On ne sait pas.

Le trésor de l’Ordre des Templiers – le point de vue de Patrick Rivière

Patrick Rivière a écrit un livre qui s’intitule “les Templiers et leur mystère”.

Selon lui, il y avait un trésor effectivement, c’est ce qui fait la légende des Templiers. On peut penser effectivement aux objets sacrés, au chandelier à 7 branches, etc. Mais en tout cas, il pense que le mystère des Templiers, le trésor est avant tout spirituel. Il évoque particulièrement la gnose, la connaissance des secrets de la nature.

Il aborde le problème du Baphomet, la mystérieuse relique était attaché à l’Ordre du Temple. Certains ont dit que c’était la tête du diable, d’autres que c’était une tête aux cheveux blonds. Il y a beaucoup d’interprétations, or, en réalité, Fulcanelli, le grand adepte alchimiste, donne une description parfaitement symbolique.

Dans le Baphomet, on voit une tête, tout à fait géométrique, avec un grand triangle pointe en bas qui forme le visage, c’est le symbole de l’eau. Il y a un petit triangle, pointe en haut, qui donne naissance au nez, un symbole du feu. Ensuite, les deux yeux qui sont les deux luminaires, le soleil et la lune. Il a une barbichette, une couronne qui semble représenter l’État …

Il a été clairement établi par Fulcanelli que ce Baphomet est l’abrégé des doctrines secrètes de l’œuvre.

Jacques Rolland nous explique que nous avons un sceau de la commanderie de Mondoubleau qui montre la tête de Saint-Jean Baptiste qui est tout à fait le Baphomet.

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Les Templiers et leurs mystères
  • Rivière, Patrick (Auteur)

Les Templiers – Le secret américain

Les Templiers en Amérique ? Une présence indiscutable prouvée par l’archéologie

Thierry Wirth, Docteur en sciences au muséum national d’histoire naturelle d’École normale supérieure. Il est Docteur aussi en lettres et sciences humaines à la Sorbonne.

  • L’auteur explique que la fin tragique de l’Ordre des Templiers et la mort de son dernier grand-maître sur le bûcher ont entraîné de nombreuses légendes plus ou moins fantaisistes.
  • Thierry Wirth évoque la présence indiscutable des Templiers en Amérique. Cela est prouvé par l’archéologie et, d’ailleurs, les États-Unis ont reconnu qu’il y avait dès l’an 1000 des Européens en Amérique.
  •  D’autre part, l’église a cherché systématiquement à diminuer l’importance de l’Ordre des chevaliers templiers, car ils affirmaient que le Christ n’est pas mort sur la croix. C’est pour ça que l’église a laissé faire le roi de France lorsqu’il a voulu les détruire parce qu’ils n’avaient aucune influence sur les Templiers. Le pape craignait beaucoup ces Templiers, car ils savaient certaines choses.
  • Lors de la fuite des Templiers sur les bateaux, il semblerait que certains soient allés au Mexique. Mais, Selon Thierry Wirth, ils y avaient été aussi avant l’arrestation … Il parle de la similitude des rites catholiques, aztèques et mexicains.

Les Templiers

Jules Michelet, historien (1798-1874)

  • En 1305, le marché diabolique du roi Philippe le Bel avec Bertrand de Got pour le faire pape, pour la suppression de l’ordre des templiers, la ruine de 15 000 chevaliers chrétiens.
  • Qu’est-ce que l’Ordre du Temple ? Qui sont ses serviteurs ?
  • Leurs règles
  • Les privilèges …
Les Templiers
  • Michelet, Jules (Auteur)

Atlas des sociétés secrètes

David V. Barrett

Livre de 175 pages

La vérité derrière les Templiers, les francs-maçons et autres organisations secrètes…

Les sociétés secrètes ont exercé leur pouvoir et leur influence sur des millions de personnes. Des chevaliers de l’ordre du Temple, célébrés par le Da Vinci Code, aux sociétés kabbalistes de la Renaissance, en passant par l’histoire des Illuminés, l’ordre hermétique de la Golden Dawn, Alester Crowley, l’Opus Dei, les clubs Hell-Fire …

Il y a différents types de sociétés secrètes, certaines ont une vocation politique souvent révolutionnaire. D’autres sont des sociétés secrètes ésotériques comme la Rose Croix. Certaines sociétés secrètes mélangent les genres, l’opacité est recherché, car elle permet l’initiation en faisant renaître un homme nouveau.

Le livre débute avec la tradition mystique occidentale, nées autour de la Méditerranée – Grèce, Égypte, Rome, Terre sainte avec de brefs aperçus du gnosticisme, dualisme, néoplatonisme, religions à mystères et enseignements attribués à Hermès Trismégiste. De telles croyances spirituelles ésotériques se retrouvent dans de nombreuses sociétés secrètes au fil des siècles.

Ce livre fournit une étude riche et complète du fonctionnement et de l’évolution des principales sociétés secrètes, une anthologie des récits, mythes et légendes sur ces sociétés. Par ailleurs, ce livre a une illustration abondante, comprenant des maquettes inédites des lieux associés à ces sociétés.

Le livre contient 7 chapitres sur les Templiers :

  • les origines des templiers
  • L’âge d’or des Templiers : les combattants
  • L’âge d’or des Templiers : les financiers
  • Le château d’Almourol
  • Les mythes des Templiers
  • Les ordres néotempliers
  • La dissolution de l’ordre

Avis : c’est un ouvrage qui évoque les bases, il n’approfondit pas chaque société secrète, mais permet de faire connaissance avec chacune.

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Des livres franc maçonnerie

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